mardi 12 janvier 2010

Pour beaucoup plus de photos , renseignements , des vidéos :

  Allez voir à cette adresse :  http://fabulouslybrendanfraserfanclub.ning.com/ .
http://www.facebook.com/posted.php?id=108455652021&share_id=254015272279&comments=1#/group.php?gid=108455652021&ref=ts
Pour plus de facilité, cliquez sur le lien dans ma liste de blog à droite .

(2010) Furry Vengeance . Rôle : Dan Sanders . Réalisation: Réalisé par Roger Kumble,



Sortie Française prévue : 31/3/2010, Belgique: juillet 2010 (grrrr....)

Synopsis :

Un promoteur immobilier décide de construire un complexe résidentiel dans la partie la plus déserte de l'Oregon. Mais une bande de créatures, fâchées de voir leur tranquilité troublée, décide de ne pas se laisser faire et d'agir...

lundi 11 janvier 2010

Remerciemments à Carole Henry

http://fabulouslybrendanfraserfanclub.ning.com/

Qui m'a permis de copier la grande majorité des photos dans le site de son club de fan .

(2010 ) Mesures Exceptionnelles Extraordinary Measures . Rôle:John Crowley .Réalisé parTom Vaughan.




Mesures Extraordinaires raconte la vraie histoire de John Crowley, un père de famille qui , avec le soutien de sa femme risquera tout , abandonnera son travail, sa vie confortable pour sauver ses deux plus jeunes enfants atteints de la maladie de Pompe, une maladie génétique rarissime. Il convaincra un chercheur (Harrison Ford) à faire des recherche pour trouver une cure .


Dates probables de ce film : En France: Mars , En Belgique selon les sources : Soit en Mars , soit en Mai .



Régis Tremblay, Collaboration spéciale
Le Soleil

(Québec) Deux enfants atteints d'un mal incurable. Un père éploré et déterminé. Un chercheur génial et rebelle. Mesures extraordinaires, de Tom Vaughan, est un drame qui ne manquera pas d'émouvoir parents et enfants, tout en leur révélant les dessous de l'industrie pharmaceutique.

Dès la première scène, nous ressentons fortement le sentiment d'amour filial qui parcourra tout le film : lorsque John Crowley (Brendan Fraser) se penche sur le lit de sa petite Megan (Meredith Droeger), atteinte d'une maladie génétique très rare, le regard qu'il pose sur elle suffit à exprimer la profondeur de son attachement. La détermination de ce père aimant à vaincre la maladie est d'autant plus grande que son fils Patrick (Diego Velazquez) est atteint du même syndrome.Le diagnostic tombe, impitoyable : la petite Megan n'a pas un an à vivre et son grand frère, guère plus. Les traitements connus ne servent qu'à adoucir leur lente agonie, mais John et sa femme Aileen (Keri Russell) ne parviennent pas à se résigner.

Ce sera surtout le père qui se battra pour les siens. Signe des temps modernes, c'est d'abord en naviguant sur Internet qu'il cherche des réponses à ses questions. Il finit par tomber sur un site où il est question d'une approche révolutionnaire de la maladie, qui est le fait d'un chercheur marginal, Robert Stonehill (Harrison Ford). Mais pour en arriver à des résultats concrets, ce personnage imprévisible et explosif aura besoin d'un détonateur en la personne du patient et insistant John Crowley.

Stonehill refusant de retourner tous ses appels téléphoniques, Crowley saute dans son auto pour surprendre le médecin chez lui, à l'université du Nebraska. Il trouve un homme vieillissant, un chercheur incompris, un loup solitaire qui se plaint de voir son université investir plus d'argent dans l'équipe de football que dans la recherche scientifique. C'est ainsi que Vaughan émet quelques critiques sur l'échelle des valeurs en matière de santé, aux États-Unis. Un sujet brûlant, au moment où la réforme Obama se heurte à de farouches opposants bien nantis.

Recette hollywoodienne

Cela dit, Mesures extrêmes suit la recette hollywoodienne en nous donnant un spectacle qui finit par prendre le pas sur le drame poignant de la famille Crowley. Agissant comme coach du champion Stonehill, le pragmatique Crowley va lui dégoter l'argent nécessaire pour élaborer son nouveau traitement, jouant le jeu du système et multipliant les pitchs de vente auprès des magnats de l'industrie. En bon Américain, John saura se montrer opportuniste.

Le film évolue vers une joute entre deux personnages masculins, comme cela arrive si souvent au cinéma américain. Et pour mettre de la couleur à ce face-à-face, on charge le rôle de Ford, qui devient une espèce de cow-boy de la science, un has been en jeans qui traîne dans les bars et fait jouer du Deep Purple dans son labo.

(2009) G.I. Joe: The Rise of Cobra Rôle :Stone (G.I. Joe) (Cameo)réalisé par Stephen Sommers


Brendan Fraser y fait juste une apparition de quelques minutes .

(2008)Cœur d'encre /Inkheart . Rôle: Mortimer Folchart. le réalisateur : Iain Softley,

Synopsis( Wikipédia)

Resa, Mortimer (alias Mo) et Meggie forment une famille heureuse, et sont férus de lecture.
Seulement, lorsque Mo lit un livre à voix haute, les personnages et les objets du livre arrivent dans notre monde. Mais ce pouvoir magique respecte le principe de l'échange-équivalent, et lorsque quelque chose ou quelqu'un vient dans notre monde, quelque chose voire même quelqu'un doit prendre sa place dans le livre....
Mo ignore qu'il détient ce pouvoir, jusqu'à ce que Résa, sa femme disparaisse dans le livre : Cœur d'encre, laissant place à « Capricorne », « Basta » et « Doigt de poussière », respectivement des brigands et un saltimbanque aux pouvoirs magiques.
Meggie était trop jeune pour se souvenir de cette terrible nuit, c'est pourquoi, voyage-t-elle sans cesse avec son père. Celui-ci ne tenant pas en place, fuyant toujours Capricorne et ses sbires.
Mais, par la même occasion Mo recherche un exemplaire de Cœur d'encre, afin de pouvoir faire revenir sa femme.
Alors qu'il vient juste d'en trouver un, Doigt de poussière se tient là sur la place, demandant à Mo de le renvoyer dans le livre, de le renvoyer dans son monde. Malheureusement, Mo ne sait pas comment faire et ayant peur de perdre sa fille comme il a perdu sa femme, il continue à s'enfuir pour retrouver Tante Elinor ...
Ce film est l'adaptation du premier tôme (Tintenherz) de la trilogie d'Encre (Tintenwelt) écrit par l'écrivaine allemande Cornelia Funke.

Tintenblut (Sang d'encre) le second tome est sorti le 2 juillet et Tintentot (Mort d'encre), le dernier tome, bien que déjà sorti en 2007 en Allemagne, est encore inédit en français mais devrait sortir en juillet 2010. Ce conte nous plonge dans un univers fantastique où réalité et imaginaire s'entremêlent. Le sujet qui prône le pouvoir des mots, a pour mission de redonner le goût de la lecture aux jeunes spectateurs.

(2008) La Momie : La Tombe de l'empereur Dragon . Rôle: Richard 'Rick' O'Connell .Réalisation : Rob Cohen

Synopsis (Wikipédia)

Il y a deux mille ans, l'empereur Er Shi Huangdi régnait en tyran sur la Chine ancienne. Il se servait de ses ennemis pour construire la Grande Muraille et puis lorsqu'ils mourraient ou ne servaient plus à rien, l'empereur les jetait dans les fondations de sa muraille. Er Shi Huangdi avait de grandes ambitions, mais il se rendit compte qu'une vie n'était pas assez pour toutes les réaliser. Alors il demanda à son plus vieil ami, le général Ming Guo, de partir à la recherche d'une sorcière du nom de Zi Yuan, qui saurait où se trouve le secret de la vie éternelle. Lorsqu'ils se rencontrèrent, Ming Guo et Zi Yuan tombèrent amoureux. Cependant, l'empereur envoya des espions épier Ming. Durant leur quête, Ming et Zi Yuan, trouvèrent les Os de l'Oracle, sur lesquels étaient gravés des glyphes chinois de la connaissance mystique de la nuit des temps. Lorsqu'ils reviennent au palais, Er Shi Huangdi fait exécuter Ming par jalousie et ordonne à Zi Yuan de le rendre immortel. Au lieu de cela, la sorcière le maudit, le transformant, lui, ainsi que toute son armée, en statues de terre cuite. Ils furent placés dans une immense tombe.
Pour empêcher l'empereur de devenir immortel et d'élever son armée, les O'Connell devront se rendre depuis l'Himalaya jusqu'à la tombe de l'empereur. Ils devront faire face à un général cruel, à un dragon cracheur de feu à trois têtes ainsi qu'à six mille guerriers de terre cuite.

(2008) EN 3D-Voyage au centre de la Terre/ Journey to the Center of the Earth .Rôle:Professeur Trevor Anderson. Réalisation :Eric Brevig

Synopsis:(wikipédia)

Ce film n'est pas vraiment un remake de celui de 1959 et ne peut s'afficher comme une adaptation pure et simple du roman éponyme de Jules Verne. En effet, il pose en postulat que le roman de Verne n'est pas un roman d'imagination, mais la relation authentique de l'aventure que Otto Lidenbrock aurait vécue avec son neveu Axel et leur guide Hans, et que le même Otto aurait racontée à Verne qui se serait chargé de la transcrire.
Cette astuce scénaristique permet au réalisateur de s'affranchir de l'adaptation scolaire tout en restant assez fidèle à l'esprit du roman. Ainsi le professeur Trevor Anderson flanqué de son neveu Sean part-il sur les traces d'Otto Lidenbrock lui-même accompagné en 1864 par son neveu Axel (le narrateur du roman). Curieusement cependant, il n'est fait aucune mention d'Arne Saknusemm, scientifique du XVIe siècle qui est le déclencheur de l'aventure d'Otto Lidenbrock. Cela permet aussi de transposer Hans, le guide de Lidenbrock, en Annah, une jolie guide de montagne islandaise (on devine ce qui va se passer entre elle et Anderson...). Il y a donc un effet de mise en abime, ce qui, pour une histoire qui se déroule dans les entrailles de la Terre, ne manque pas d'ironie.
L'univers de Verne se trouve ainsi transposé à notre époque, au début du XXI siècle, et intègre le téléphone cellulaire, la game-boy et Internet. On retrouvera, avec quelques modifications (normal, puisque ce n'est pas une adaptation au sens strict), les éléments qui marquent le roman : les champignons géants, les monstres marins, l'isolement accidentel du neveu par rapport à son oncle et leur guide, la remontée par la cheminée d'un volcan (ce n'est plus le Stromboli, mais le Vésuve)... Tout cela bénéficie des techniques actuelles en matière d'effets spéciaux, et l'humour n'est jamais totalement absent. L'oiseau bleu lumineux apporte une touche poétique. Et comme ce n'est pas une adaptation, on ne peut pas crier à la trahison, et on se surprend à trouver là plus de fidélité au roman de Verne que dans bien des pseudo-adaptations.
Quand la grande majorité des adaptations de Jules Verne au cinéma se révèlent plus que décevantes, ce film, , se révèle, par son côté décalé, une agréable surprise qui se laisse regarder avec  plaisir.

(2007) The Air I Breathe. Rôle : Pleasure. Réalisé par Jieho Lee


Synopsis(Wikipedia)

The Air I Breathe est un drame basé sur un ancien proverbe chinois, qui divise la vie en quatre émotions : bonheur, plaisir, douleur et amour. Un homme d'affaires parie sa vie sur une course de chevaux; un gangster peut voir dans l'avenir ; une star de la pop tombe dans les bras d'un parrain de la pègre; un docteur se démène pour sauver l'amour de sa vie.